KINGDOM OF ROCK BRUDALL
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 Eva Anárion Photographer Outsider Art

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MessageSujet: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeMer 7 Oct - 12:53

Eva Anárion Photographer Outsider Art L_050563d2018a4c249f5b9d202599f7ae



http://www.myspace.com/evaanarion



Apprend la photo en autodidacte depuis 2008. Adepte de l’art numérique, à la fois art vivant, art dynamique, elle suit naturellement le mouvement artistique dans l’art contemporain et y mêle intimement réalité, actualité et imaginaire, créant sans avoir jamais eu de formation artistique à partir seulement de ses propres impulsions. Un travail remarquable, spontané, sans prétentions culturelles n’y démarche intellectuelle qu’on aime admirer et qui nous touchent tout particulièrement...

On l’a dit marginale avec un grand intérêt pour l’être humain dans sa vie quotidienne, qu’elle pourrait faire partis des nouveaux représentants du courant de la photographie humaniste française et à la fois une nouvelle pionnière du photojournalisme avec ces aspects pittoresques. Elle se lance de temps à autres comme photographe de mode/portraitiste mais le plus souvent en dehors des studios.

On aime son doux regard, ces moments d’innocence magnifiquement capturés, sa manière de figer les émotions qui rendent vivant son art. Provoquant, touchant, expressif, riche, fluide, sensible, authentique, sont les mots et tant d’autres qui se dégagent de ses travaux photos. Du talent et de la profondeur, elle a l’art de capter l’émotion de l’instant ce qui rendent ses portraits sublimes et elles illuminent. La perspective de son art est tout simplement divine.


*******************************************************************************


By means of self tuition in photography since 2008. Performing digital art, at the same time living art, dynamic art, she naturally follows the artistic movement in contemporary art. And intimately mixes reality, actuality and imagination, creating without ever having had artistic training using her own impulses. Remarkable work, spontaneous, unpretentious culture, without intellectual approach that we admire and more particularly affect us all...

With the main objectif the interest in humanity and their daily live, she could be part of the new representatives of French humanist photography and at the same time a new pioneer of photojournalism with the picturesque aspects. She's from time to time fashion photographer, but focuses herself more outside the studio.

We love her gentle approach, those moments of innocence beautifully captured, her way to capture the emotions that make her art alive. Provocative, touching, expressive, rich, fluid, sensitive, authentic, are the words and so many others that emerge from her photos. Talented and in depth, Her art captures the instant emotions which makes his portraits sublime and illuminating. That makes her art simply Divine.
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MessageSujet: Re: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeMer 7 Oct - 13:00

Exhibition Photography November 2009

Date / Heure :

1er au 30 novembre 2009
Horaires :
du dimanche au jeudi 12h30-15h00 / 19h30-23h00
vendredi 12h30-15h00
samedi 21h30-1h00

Transports:
métro ligne 9 Rue des Boulets

Où:
chez Gina, restaurant italien
256 boulevard voltaire
Paris 75011
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MessageSujet: Re: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeMer 7 Oct - 13:08

voici quelques photos de l 'artiste..........Eva....

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MessageSujet: Re: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeMer 14 Oct - 19:19

La photo humaniste va-t-elle mourir ?

ici La photo humaniste va-t-elle mourir ?


Tranquillement, des images flottés, tronqués et même truqués, feront de plus en plus partie de notre paysage quotidien. Elles nous éloignerons petit à petit de la réalité… »


« C’est tué la vie… »


« Il faut documenter la vie telle qu’elle est . »

« Suis un témoin pour les gens qui ne sont pas là . »

« Beaucoup de gens regardent, mais nous, nous sommes les gens qui voient. Et c’est ça le plaisir de la photo, c’est que tu as vu quelque chose et tu le partages… »

« Est-ce vraiment si grave de montrer la vie ?

Pourtant, la photographie documentaire a toujours eu se pouvoir de nous faire réfléchir sur le monde qui nous entoure…

Bien sûr, il y a ces indispensables photographes de presse qui nous rendent compte des évènements de la vie…

Mais… il y a aussi ces poètes de l’image, ces fous sympathiques qui pour deux sous, traineront des heures entière au coin des rues pour nous raconter une image qu’eu seul ont pu apercevoir.

Les photographes doivent reprendre possession de la rue avec ou sans permission et poursuivre cette essentielle école du regard… Car ne plus faire ce type de photographie, équivaut tout simplement à accepter de perdre collectivement la mémoire… »

« Alors ne regardez pas un livre photographique de Doisneau! Vous ne pouvez pas vous permettre d'être spectateur de photographies qui émanent de la même façon que moi je procède! Alors refermez le livre et partez! »

« La honte me monte à la gorge. Les nombreux procès de droit à l’mage montrent que notre société est inquiétante et qu’il faut rester vigilant. Avons-nous le droit encore de regarder ? » - Henri Cartier-Bresson, septembre 1999.


" LA RÉALITÉ CE N'EST PAS LA POSE "
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MessageSujet: Re: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeVen 18 Juin - 21:03

La pensée positive, 1/3
1.1 Résumé du dossier
1.2 Les fondements de la pensée positive
1.2.1 L’anatomie subtile de l’homme
1.2.1.1 Les corps subtils
1.2.1.2 Les auras
1.2.1.3 Les chakras
1.2.2 L’homme et le monde dans les antiques traditions philosophiques et spirituelles
1.2.2.1 Relations entre l’homme et l’univers
1.2.2.2 Comment l’homme agit-il sur le monde ?




Résumé du dossier



La pensée positive est une pratique mentale et spirituelle commune à de nombreuses traditions consistant à concentrer son esprit sur des images et des objets (se rapportant à des choses matérielles, comme la santé, le succès économique, l’abondance et la richesse, ou bien ayant trait à des réalités immatérielles, comme l’amitié, l’amour, la paix, le bonheur…) dont la manifestation procure joie et bonheur.

Le yoga, notamment, a inscrit le développement chez le pratiquant d’une attitude mentale positive au cœur de sa pratique.

La philosophie de la pensée positive se fonde sur la conception énergétique de l’homme élaborée par les diverses traditions spirituelles (orientales et occidentales), selon laquelle l’homme ne se compose pas seulement d’un corps physique, mais de corps subtils, alimentés en énergie par les différents chakras, et de chacun desquels émanent une aura : tout cela a trait à ce que l’on a appelé « l’anatomie subtile de l’homme ».

L’homme se voit relié à l’Univers par chacun de ces différents corps subtils.

Le corps mental revêt une importance toute particulière dans la pratique de la pensée positive, car c’est en lui que l’homme, lorsqu’il pense ou s’adonne à une activité cérébrale, crée des « formes-pensées » qui finiront par avoir un impact sur le monde matériel, du fait du lien existant entre ce dernier et les différents plans subtils de la réalité.

La pensée positive enseigne donc à surveiller et devenir maître de ses pensées car celles-ci peuvent avoir un effet réel à la fois sur notre corps, sur le monde et sur la vie (la nôtre et celle des autres).

Pratiquer la pensée positive c’est donc orienter son esprit sur de belles choses afin que celles-ci puissent se manifester et nous procurer abondance, richesse, succès, travail, amour, amitié, ainsi que la santé sur tous les plans : santé physique, santé émotionnelle, santé mentale et santé spirituelle.

La vie en effet ne refuse pas ses bienfaits à qui sait ouvrir son cœur et sa pensée pour se préparer à les recevoir.

Mais pour que la pratique de la pensée positive puisse devenir efficace, il faut suivre certaines règles que des livres dont nous vous conseillerons la lecture décrivent, en vue de leur application, de manière détaillée, et ce afin de vous mettre dans les conditions de permettre au bonheur et à la joie d’entrer dans votre vie.




Les fondements de la pensée positive



Il est aujourd’hui de plus en plus fréquent d’entendre parler de courants et d’écoles de pensée dont les techniques enseignées s’inspirent de cette attitude mentale généralement connue sous le nom de « pensée positive », et cherchant à mettre en pratique cette notion dans tous les domaines de notre vie quotidienne (qu’il s’agisse du travail, de nos rapports avec nos proches - parents et amis - de nos relations amoureuses et sentimentales, etc.).

Mais en quoi consiste exactement l’exercice de la « pensée positive » ? En quoi cette attitude d’esprit nous permet-elle d’améliorer considérablement la qualité de notre vie ? Et surtout comment faut-il la pratiquer pour qu’elle puisse devenir réellement efficace, c’est-à-dire pour qu’elle devienne réellement en mesure d’améliorer notre vie ainsi que celle de nos proches ?

Avant-même de répondre à l’ensemble de ces questions et de décrire la manière dont cette façon de penser peut être appliquée au quotidien, il convient de bien définir ce qu’est la pensée positive et de voir sur quels principes, sur quelle conception de l’homme et du monde celle-ci repose.




L’anatomie subtile de l’homme



Nous exposerons ici brièvement la conception de l’homme qui est au fondement de ce que l’on appelle « la pensée positive ».

L’une des premières traditions à faire mention de la « pensée positive » et à insister sur son importance (dans la mesure où elle a le pouvoir d’influer, voire de déterminer la qualité de notre vie) est celle qui nous vient de l’Inde et dont les enseignements nous ont été essentiellement transmis à travers cette discipline plurimillénaire qu’est le yoga.

A qui désirerait avoir plus d’informations en ce qui concerne « l’anatomie subtile de l’homme », nous conseillons la lecture de notre dossier intitulé « L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras », ainsi que celle des livres qui sont cités, mentionnés et conseillés dans le cadre de cet article.

Ajoutons que nous utiliserons ici les termes et les expressions hérités de la philosophie et de la spiritualité indiennes.

Mais nous voudrions cependant insister sur le fait que la pensée indienne n’a pas eu le monopole de la science des auras, des chakras et des corps subtils et que, même si les mots et les expressions que nous allons utiliser sont empruntés à cette tradition, les connaissances et les vérités auxquels ils renvoient sont communes à toutes les grandes traditions philosophiques, initiatiques, religieuses et spirituelles élaborées par les peuples issus des grandes civilisations, présentes et passées, du monde entier (comme, pour ne citer qu’eux, les Égyptiens, les Sumériens, les Babyloniens, les Amérindiens, les Aztèques, les Mayas, les Chinois, les Tibétains, les Japonais, et bien d’autres encore).

Les grandes traditions spirituelles ne présentent pas l’homme uniquement comme un composé de matière et d’esprit, mais comme un être dont la manifestation dans le monde sensible et l’apparence la plus superficielle (l’apparence physique), est liée à l’existence de plusieurs réalités « subtiles », c’est-à-dire des réalités invisibles à l’œil physique, mais qui n’en sont pas moins les causes réelles responsables du bon fonctionnement des différentes fonctions de l’individu (fonctions vitales, reproductrices, émotionnelles, sentimentales, mentales et spirituelles) et surtout de son maintien dans l’existence (c’est-à-dire de sa vie).

Pour présenter sommairement la conception de l’homme héritée de ces traditions, ce dernier est, selon elles, composé d’une âme, d’un corps physique, et d’un corps vital (ou astral), dont la fonction est d’assurer le lien entre les premiers deux éléments (l’âme et le corps).

C’est en effet par l’intermédiaire du corps vital que l’âme peut donner la vie au corps physique qui, de ce fait, trouve la mort au moment où le corps vital s’en détache.

En réalité, sous l’expression de « corps vital » ou, selon les sources et les traditions, de « corps astral », est désigné un ensemble complexe, composé de plusieurs éléments « subtils » (c’est-à-dire non manifestés sur le plan matériel, mais seulement sur le plan énergétique), dont les principaux sont :

1) Les corps subtils

2) Les auras

3) Les chakra



Les corps subtils


La tradition estime généralement que les corps subtils sont au nombre de sept et qu’ils sont les suivants [Nous empruntons cette classification au livre de Daniel et Anne MEUROIS-GIVAUDAN, Les Robes de Lumière, lecture d’aura et soins par l’esprit] :

a) Le corps d’esprit divin

b) Le corps de vitalité divine

c) Le corps causal

c) Le corps mental

d) Le corps astral

e) Le corps éthérique

f) Et enfin le corps physique


Les corps subtils sont des corps énergétiques situés « à l’intérieur » du corps physique et s’imbriquant les uns dans les autres, un peu à la manière dont les poupées russes nous en donnent un exemple, et ce jusqu’à arriver au « noyau de notre être », au corps d’esprit divin, lequel se situe dans la région du cœur, plus ou moins au niveau du quatrième chakra (chakra du cœur).

Nous ne nous attarderons pas sur la présentation de chacun des corps subtils (pour plus de précisions à ce sujet, voir notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras, ainsi que les livres conseillés pour approfondir la connaissance de ces différents corps).

Nous voudrions seulement préciser que le corps qui assume une importance toute particulière dans l’exercice et la pratique de la pensée positive est le corps mental.

En effet, c’est dans le corps mental que naissent les idées et les pensées que nous produisons, lesquelles se traduisent ensuite dans notre esprit sous forme d’images mentales.

Même si la plupart du temps, nous n’en sommes absolument pas ou très peu conscients, ces idées, ces pensées et ces représentations, lorsqu’elles se répètent fréquemment ou qu’elles sont émises avec intensité, ont un impact (négatif ou positif, en fonction de la teneur de nos pensées) à la fois sur nous-mêmes (notamment, et en dernier lieu, sur notre corps physique) et sur notre environnement (c’est-à-dire sur notre entourage, sur notre nation, sur le monde et enfin sur l’univers).

Nous verrons plus loin comment et au travers de quel processus peut s’expliquer l’influence si forte qu’ont nos pensées sur nous-mêmes, mais aussi et surtout sur notre monde environnant.




Les auras


Les auras ne sont autres que les émanations des corps subtils, c’est-à-dire leur manifestation plus ou moins tangible.

En effet, une aura apparaît à l’œil du clairvoyant (c’est-à-dire chez celui qui est parvenu à ouvrir ce que la tradition nomme « le troisième œil ») sous la forme d’une radiation plus ou moins colorée et plus ou moins lumineuse.

En outre elle se révèle être un indicateur parfait, pour qui sait interpréter les couleurs et les degrés d’intensité lumineuse qu’elle présente, de l’état général du corps subtil dont elle est l’émanation (pour plus de précisions, voir notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras, ainsi que les livres conseillés dans cette présentation).

Etant donné qu’une aura est une émanation d’un corps subtil, il existe donc autant d’auras qu’il y a de corps subtils. D’autre part, il faut prendre garde à ne pas la confondre avec le corps subtil qui lui est associé : il y aura donc, d’une part, le corps éthérique et, d’autre part, l’aura éthérique, le corps astral et l’aura astrale, et ainsi de suite.

Les auras s’imbriquent elles aussi les unes dans les autres (à la manière des poupées russes), mais dans un ordre croissant inverse à celui des corps subtils : autrement dit, plus un corps subtil est « petit », plus son aura sera « étendue », en partant des contours et de la superficie du corps physique.

Les auras perçues par l’œil du clairvoyant sont donc les suivantes (de la moins « étendue » jusqu’à la plus « étendue ») :

a) L’aura éthérique

b) L’aura astrale

c) L’aura mentale

d) L’aura causale

e) L’aura de vitalité divine

f) L’aura d’esprit divin

Ici encore, l’aura sur laquelle l’exercice et la pratique de la pensée positive ont le plus d’influence est l’aura mentale.

Pour en savoir plus et être en mesure de pratiquer la lecture d’auras à des fins curatives, nous vous recommandons vivement la lecture de Les Robes de Lumière, lecture d’aura et soins par l’esprit, de Daniel et Anne MEUROIS-GIVAUDAN.



Les chakras


Les chakras (« roues » ou « lotus » en sanscrit) sont des points de force situés aux endroits où les méridiens d’énergie (nadis) du corps vital se croisent plusieurs fois et dont la fonction est d’absorber l’énergie vitale (prana) présente dans l’univers et, par conséquent, dans l’environnement au sein duquel nous vivons.

Sept chakras sont dotés d’une importance majeure, dans la mesure où ils jouent un rôle fondamental dans notre évolution et notre bien-être, aussi bien physiques, qu’émotionnels, mentaux et spirituels.

Ces sept chakras sont situés le long de la contre-partie éthérique de la colonne vertébrale, sur le méridien d’énergie central (auquel les sages indiens ont donné le nom de « Sushumna »). A l’endroit où se trouvent les sept chakras principaux, les méridiens d’énergie se croisent 21 fois.

Ces sept chakras sont :

- 1er chakra (chakra de base ou coccygien interne) : Mulhadara Chakra

- 2ème chakra (chakra sacré): Swadvhishthana Chakra

- 3ème chakra (chakra solaire) : Manipura Chakra

- 4ème chakra (chakra cardiaque): Anahata Chakra

- 5ème chakra (chakra laryngé): Vishuddha Chakra

- 6ème chakra (chakra frontal) : Ajna Chakra

- 7ème chakra (chakra coronal) : Sahasrara Chakra

Chacun de ces chakras est relié à l’un des sept corps subtils qu’il vitalise et dont il régule le développement.

Le chakra qui revêt le plus d’importance dans l’apprentissage et la pratique de la « pensée positive » est le 5ème chakra ou « chakra laryngé » (Vishuddha Chakra), dans la mesure où il est directement en liaison avec le corps mental et son émanation, l’aura mentale.

Pour plus de précisions à ce sujet lire notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras et les livres que nous vous recommandons.




L’homme et le monde dans les antiques traditions philosophiques et spirituelles



Relations entre l’homme et l’univers



Dès la plus haute Antiquité, les sages issus des diverses traditions ont pris conscience que l’homme ne pouvait pas être pensé indépendamment de son milieu.

Les Stoïciens, par exemple, envisageaient l’homme comme une partie du grand Tout divin, c’est-à-dire du Cosmos, et, selon eux, la sagesse naissait à partir du moment où l’individu conformait sa volonté particulière à la Volonté Universelle, c’est-à-dire à la Providence. C’est pourquoi le sage stoïcien voulait que ce qui arrive advienne, car il savait voir dans la survenance des événements un signe de la Volonté Divine.

Les Epicuriens, quant à eux, considéraient que le processus par lequel l’homme en vient à l’existence est le même que celui qui a été au fondement de la création de l’univers : en effet, pour l’épicurien, aussi bien l’homme que l’Univers est le fruit de la rencontre des atomes en chute perpétuelle dans le vide. Cette rencontre casuelle (c’est-à-dire n’obéissant à aucun dessein intelligent, ni à aucun plan préétabli) se produit sous l’effet d’une force déviante (clinamen) qui fait sortir les atomes en chute dans le vide de leur trajectoire rectiligne. Ainsi, l’homme est régit par les mêmes lois et les mêmes principes que ceux de l’Univers.

Les sages issus des diverses traditions orientales ont, quant à eux, eu et développé bien plus tôt cette intuition selon laquelle l’homme et l’Univers ne font qu’un : ce qui permet de rendre raison des liens invisibles mais bien réels qui relient l’individu singulier avec le Monde environnant et, au-delà, avec l’Univers, est le concept clé d’ « énergie ».

Tout comme les Epicuriens et les Stoïciens après eux, les rishis (voyants) et les yogis (ascètes) ont pris conscience, grâce à la vision intérieure développée par la pratique assidue de la méditation, que les forces qui animent l’homme et le maintiennent en vie sont les mêmes que celles qui animent l’Univers.

Mais, à la différence des Epicuriens, les maîtres de sagesse orientaux sont parvenus à savoir, comme cela sera plus tard le cas pour les Stoïciens, que cette énergie, source de toute vie, est vivante et intelligente, et nullement inerte et aveugle. C’est à cette énergie qui nous anime et nous soutient par son Amour que de nombreuses traditions spirituelles ont donné le nom de Dieu.

Mais voyons maintenant de manière plus précise et plus concrète comment s’exerce l’action de l’homme sur le monde.



Comment l’homme agit-il sur le monde ?



Dans la première partie de notre dossier, nous avons vu que l’homme n’était pas composé seulement d’un corps physique, mais aussi de plusieurs corps subtils, appelés également « corps énergétiques ».

Il n’est pas difficile de se rendre compte qu’un homme a le pouvoir d’agir sur le monde matériel par l’intermédiaire de son corps physique. Il suffit pour cela d’observer un individu qui pousse un petit objet posé sur un meuble : sous l’effet de la pression exercée par le doigt ou la main de la personne, l’objet se déplace.

Une action qu’un homme entreprend par l’intermédiaire de son corps physique a donc un effet direct sur le monde matériel.

Mais l’univers ne se résume pas au monde matériel. Tout comme l’homme est composé de plusieurs corps subtils, l’univers est lui aussi constitué de plusieurs mondes, plus ou moins subtils, suivant la même hiérarchie que celle qui permet de classifier les différents corps subtils (voir notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras).

Il existe donc, certes, un monde matériel (avec lequel nous sommes en contact par l’intermédiaire de notre corps physique), mais aussi un monde éthérique (avec lequel nous sommes en contact par l’intermédiaire de notre corps éthérique), un monde astral (avec lequel nous sommes en contact par l’intermédiaire de notre corps astral), un monde causal (avec lequel nous sommes en contact par l’intermédiaire de notre corps causal), un monde mental (avec lequel nous sommes en contact par l’intermédiaire de notre corps mental), et des mondes divins (avec lesquels nous sommes en contact par l’intermédiaire de nos corps de vitalité divine et d’esprit divin).

Il ne faut pas voir ces différents mondes comme des mondes extérieurs et imperméables les uns aux autres, mais plutôt comme différents plans de la réalité superposés et en liaison les uns avec les autres, de la même manière que les différents corps subtils de l’homme sont en communication les uns avec les autres (voir à ce propos notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras).

De ce fait, de même qu’une modification (positive ou négative) de l’état de l’un de nos corps subtils pourra avoir une incidence (positive ou négative, selon la nature de la modification) sur l’état de nos autres corps, une action (positive ou négative) dans l’un des mondes subtils pourra avoir une incidence (positive ou négative, selon la nature de l’action) au sein des autres mondes.

Chaque individu, dans la mesure où il est constitué de plusieurs corps subtils est relié à chacun de ces mondes, du moins potentiellement : car rares sont les hommes qui ont ou ont eu accès au Monde Divin (au « Royaume des Cieux » dont parle Jésus dans les Evangiles, c’est-à-dire au Paradis), dans la mesure où très peu nombreux sont ceux qui sont parvenus à activer les deux corps supérieurs que sont « le corps de vitalité divine » et « le corps d’esprit divin » (voir notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras), qui sont les « véhicules » par lesquels l’âme, au dire de ceux qui en ont fait l’expérience, peut accéder au « Royaume de Dieu ».

Globalement, la plus grande majorité des hommes a connaissance des mondes physique, éthérique, astral et mental, tandis que le « Royaume de Dieu » leur reste voilé (ce qui n’est pas le cas pour les prophètes, les saints ou les grands mystiques qui ont vu et connu le « Royaume des Cieux »).

Nous avons vu précédemment qu’une action de l’homme par l’intermédiaire de son corps physique a un effet direct sur le monde matériel : cette action, dans la mesure où elle relève du corps physique, consiste en un déplacement de l’un de nos membres corporels.

Eh bien !, comme cela découle de tout ce que nous venons de dire, de la même manière, une action de l’homme par l’intermédiaire de son corps éthérique aura un effet direct sur l’état du monde éthérique, une action effectuée par l’intermédiaire du corps astral aura un effet direct sur l’état du monde astral, une action effectuée par l’intermédiaire du corps causal aura un effet direct sur l’état du monde causal, une action effectuée par l’intermédiaire du corps mental aura un effet direct sur l’état du monde mental, etc.

Précisons tout de suite que :

1) une action du corps physique sur le monde matériel est représentée par le déplacement d’un ou de plusieurs membres du corps (le déplacement de la main de celui qui lance la pierre).

2) une action du corps éthérique sur le monde éthérique s’effectue par l’émission d’énergie vitale ou prana (laquelle se fait la plupart du temps de manière inconsciente). Cette émission d’énergie vitale ou prana fait référence à ce que l’on appelle couramment le « magnétisme » de la personne et est perçue généralement intuitivement par les autres lorsqu’ils disent de cette personne qu’elle émet des ondes « positives » ou « négatives ».

3) une action du corps astral sur le monde astral s’effectue à travers le ressenti d’une émotion.

4) une action du corps causal sur le monde causal est représentée par les sentiments sous-jacents au principe de nos actions (sentiments d’indifférence, d’amour ou de haine).

5) une action du corps mental sur le monde mental s’effectue par l’émission d’une pensée ou d’une image mentale.


Comme l’indique l’analyse de la notion elle-même, un « monde » est un espace de vie commun à tous les êtres qui l’habitent. Par conséquent, un changement d’état de ce monde aura un effet plus ou moins direct sur les êtres qui y vivent, puisque ces derniers sont en relation avec lui.

Pour prendre un exemple simple, si quelqu’un coupe la corde qui suspend le hamac sur lequel je dors, le changement de situation (la corde qui n’était pas coupée devient coupée) produira un effet direct (plutôt négatif) sur moi (il y aura de grandes chances que je tombe en me réveillant de mauvaise humeur !), dans la mesure où j’étais en relation avec le hamac (je dormais dessus... !), lequel fait bien entendu partie (et, dans ce cas, malheureusement pour moi !) du monde dans lequel je vis.

Analogiquement, et selon le même raisonnement, une certaine action de la part d’un sujet sur le monde éthérique produira un effet sur les êtres vivant dans le monde éthérique, une certaine action sur le monde astral produira un effet sur les êtres vivant dans le monde astral, et ainsi de suite.

C’est pourquoi, une émotion négative (comme la peur, l’angoisse, le stress ou la colère) apparue et s’étant développée dans le corps astral d’un individu exercera une action directe au sein du monde astral en propageant une « forme-émotion » (appelée « élémental » dans la tradition hermétique et ésotérique) qui viendra influencer les personnes dont les corps astraux se trouveront à proximité de celui ou celle en qui s’est développée cette émotion négative.

Ce phénomène s’observe très fréquemment dans l’expérience lorsque nous sommes à proximité d’hommes ou de femmes vivant en permanence dans le tourment du fait qu’ils se laissent trop facilement emporter par leurs émotions négatives (comme la peur, l’angoisse, la jalousie ou la colère) : dans ce type de situation, nous ressentons généralement au fond de nous-mêmes que l’inquiétude se communique facilement et rapidement.

Combien de fois ne nous sommes-nous pas retrouvés dans la situation de dire à une personne agitée : « Arrête de bouger comme ça car tu me stresses ! » ?

A l’inverse, ne dit-on pas que la joie de quelqu’un est « communicative » ?

Ce genre de situation nous permet de faire l’expérience directe de l’effet que peut avoir sur une autre personne l’émission, au sein du monde astral et par l’intermédiaire du corps astral d’un individu, d’une « forme-émotion ».

Et ce même principe s’applique pour tous les autres corps et les mondes subtils : l’action d’un quelconque de ces corps chez un individu produit un effet dans le monde subtil qui lui est associé. Et cet effet, à son tour, a une incidence sur les êtres en liaison avec ce plan d’existence du fait qu’ils sont pourvus du « véhicule » (c’est-à-dire du « corps subtil ») qui permet d’y accéder.

Nous avons maintenant en main toutes les clefs qui vont nous permettre d’expliquer et de comprendre comment fonctionne le processus de la pensée positive et pourquoi son exercice et sa pratique quotidienne revêtent une importance si capitale dans la détermination de la qualité de notre vie.




Lire la suite de l'article : La pensée positive, 2/3


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Plus d'infos : http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&friendId=145780619&blogId=535998708#ixzz0rEVRO5f7
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MessageSujet: Re: Eva Anárion Photographer Outsider Art   Eva Anárion Photographer Outsider Art Icon_minitimeVen 18 Juin - 21:05

La pensée positive, 2/3
La pensée positive, II
1.1 L’action et les effets de la pensée positive sur la vie
1.1.1 La pensée positive et le corps mental
1.1.1.1 Les « formes-pensées »
1.1.1.2 La manifestation des « formes pensées » dans l’univers
1.1.2 Les effets de la pensée positive
1.1.2.1 Définition de la pensée positive
1.1.2.2 Les effets de la pensée positive sur notre corps
1.1.2.3 Les effets de la pensée positive sur le monde
1.1.2.4 Les effets de la pensée positive sur notre vie




L’action et les effets de la pensée positive sur la vie



La pensée positive et le corps mental



Les « formes-pensées »




Comme nous l’avons vu, la pensée est un attribut du corps mental. C’est donc dans ce dernier que prennent naissance ce que la tradition nomme « les formes pensées ».

Une « forme pensée » est une sorte d’image, visible pour qui parvient à observer le corps mental grâce à l’activation du sixième chakra (ou « troisième œil »), qui est en quelque sorte la manifestation objective de nos pensées du moment.

Cette image peut traduire nos pensées de deux façons :

- soit réellement, et dans ce cas, l’image est la traduction directe des représentations mentales que nous visualisons dans notre esprit, consciemment ou non (il peut s’agir ou de souvenirs, ou de personnes, de lieux et de choses imaginés).

Précisons que des « formes-pensées » aux contours bien nets apparaissent seulement chez ceux qui ont une grande faculté de concentration et qui sont capable de se focaliser sur une pensée ou une image mentale sans se laisser distraire par autre chose.


- soit symboliquement : cette alternative se vérifie lorsque nos idées sont confuses ou peu intenses, comme c’est le cas chez les personnes distraites ou dont l’esprit vogue perpétuellement d’une pensée à l’autre sans qu’elles parviennent à se concentrer sur quelqu’une d’entre elles pendant un certain temps.

Dans ce cas, le clairvoyant observera ou bien des images fugaces en perpétuelle mutation (un peu comme les images d’un kaléidoscope) ou bien une seule image, qui ne correspondra pas à une image mentale précise visualisée par le sujet se prêtant à l’observation, mais à une représentation allégorique de la manière dont il pense généralement.

Ainsi, l’image allégorique produite par le corps mental d’une personne dotée d’une faible force de concentration, mais pensant à des choses positives ou agréables (bonheur, joie, amour, paix, etc.) aura un aspect gracieux et harmonieux quelle que soit la forme que prenne cette image (c’est-à-dire qu’elle représente, par exemple, un visage, un animal, un objet ou un lieu).

A l’extrême opposé, l’image allégorique produite par le corps mental d’une personne dotée d’une faible force de concentration, mais pensant perpétuellement à des choses négatives ou désagréables (adversité, tristesse, maladie, mort, etc.) aura un aspect disgracieux et disharmonieux, voire effrayant.

A propos de la perception par le clairvoyant de ces formes-pensées, Franz Hartmann, dans un livre intitulé Magic, White and Black (Magie Blanche et Noire) – où le terme « magie » est à entendre dans son sens le plus noble (c’est-à-dire, selon les mots de l’auteur, de « Science la plus Haute ou Sagesse fondée sur la connaissance et l’expérience pratique » et subordonnée à l’Amour) – rapporte l’expérience racontée par un clairvoyant, Monsieur Whitworth, qui aperçut des êtres fabuleux (gnomes, trolls, elfes, etc.) sur le clavier de l’orgue sur lequel était en train de jouer un professeur de musique allemand. Voici ce que Monsieur Whitworth raconte :

« Dans les mouvements musicaux plus rapides, ceux-ci [ces êtres fantastiques] dansaient frénétiquement, en faisant ondoyer leurs couvre-chefs de plumes et leurs éventails dans une véritable extase, en bougeant en avant et en arrière avec une rapidité incroyable, tandis que leurs pieds battaient la mesure avec la rapidité du tambourinement de la pluie ! En un éclair, quand la musique se transformait en la cadence solennelle d’une marche funèbre, ces êtres vaporeux disparaissaient et faisaient place à des gnomes vêtus de noirs, comme des moines encapuchonnés, avec le visage arrangé des Puritains, et muets dans leur noir habit d’enterrement ! Etrangement, sur chaque minuscule visage était exprimé le sentiment de la musique, de sorte que je pouvais comprendre instantanément la pensée et le sentiment que celle-ci voulait communiquer. […] Chaque fois que se faisait entendre une dissonance, les petits esprits qui apparaissaient étaient des créatures mal formées, avec des articulations et des habits disgracieux, en général des nains bossus dont la voix était gutturale et âpre et chaque mouvement inélégant et désagréable. »

Récit extrait du livre de Franz Hartmann, Magic, White and Black (Magie Blanche et Noire)

Ce texte donne une idée juste de la manière dont se manifestent, « objectivement », en quelque sorte (dans la mesure où elles peuvent être perçues par un observateur extérieur), les images produites par le corps mental d’une personne, lesquelles reflètent fidèlement les sentiments et les pensées qui en émanent.




La manifestation des « formes pensées » dans l’univers



Comme nous l’avons déjà expliqué, l’homme, par l’intermédiaire de son corps mental, est relié à l’un des mondes subtils auquel nous avons attribué le nom de « monde mental ».

Dès lors qu’un homme émet une pensée, celle-ci se « manifeste », comme nous venons de le voir, sous l’aspect d’une « forme-pensée ».

Cette forme-pensée est alors projetée dans le monde mental, monde dans lequel elle se développe par la suite : elle se voit donc dotée, à ce moment-là, d’une existence propre.

Pour décrire le processus par lequel naissent, se développent les « formes-pensées » et comment elles agissent aussi bien sur l’individu par lequel elles ont été émises que sur le monde mental et, par conséquent, sur tous les autres êtres vivant dans ce plan de la réalité (par l’intermédiaire de leur corps mental), voici ce qu’écrit Franz Hartmann, dans l’ouvrage déjà cité (Magic, White and Black) :

« Toutes les formes sont des manifestations de vie, elles ne possèdent pas une vie par elles-mêmes, puisque la vie est un pouvoir universel. Celles-ci sont les créations du pouvoir de la pensée, agissant sur A’kâsa [= l’élément de la Matière, représenté par la « Terre »].

Les créations de l’homme sont maintenues en vie par le pouvoir vital qu’irradie en elles le centre vital à l’intérieur de l’homme, lequel est un dieu au sein du monde qu’il créé à l’intérieur de son esprit ; ses créatures sont comme des ombres qui disparaissent quand la source de lumière à laquelle elles s’alimentent en vient à s’épuiser.

Quand l’action psychique de l’homme qui leur a donné la vie cessera d’agir et se tournera vers une autre direction, celles-ci disparaitront à plus ou moins long terme de la même façon que les formes des hommes se raréfieront quand la vie qui vient de Dieu cessera de leur parvenir.

Toutefois, tout comme le cadavre d’un homme ne se dissout pas immédiatement après avoir été abandonné par le principe de la vie, mais décline lentement ou rapidement, selon sa densité moléculaire et sa cohésion, de la même façon les formes et les souvenirs astraux créés par les pensées et les sentiments humains requièrent du temps avant de se dissoudre.

Ceux-ci continuent à exister tant que l’homme déverse vie et conscience en eux par l’intermédiaire de ses pensées et de sa volonté, et s’ils ont acquis une certaine quantité de pouvoir, ils pourront encore adhérer à la personne qui les a générés, même si cette dernière peut ne plus désirer leur compagnie.

La vie de telles formes dépend de cette personne et la lutte pour l’existence les pousse à rester avec la source dont elles tirent leur vitalité. Si elles s’éloignent de cette source, elles meurent ; elles sont donc contraintes à rester et, comme le monstre créé par « Frankenstein », celles-ci persécutent leur créateur par leur présence indésirée.

Pour se libérer d’un tel aiguillon, celui qui en est victime devrait diriger toutes les forces de ses aspirations et de ses pensées dans une direction différente et plus élevée, de façon à priver ces formes de tout pouvoir. Ainsi, le principe spirituel de chaque homme devient son Rédempteur particulier, lequel, par le biais de la transformation du caractère, le sauve des effets de son pêché, et devant la pure lumière duquel les illusions créées par les attractions inférieures fondent comme neige au soleil ».

Franz Hartmann, Magic, White and Black (Magie Blanche et Noire),

Nous comprenons alors pourquoi il convient de bien surveiller le contenu de nos pensées et de les diriger vers des idées positives, et non vers des idées négatives.

Toujours dans le même livre, Franz Hartmann cite un passage d’une lettre anonyme dans le quel on lit :

« Toute pensée de l’homme, une fois développée, passe dans un autre monde et devient une entité active, en s’associant, en se fondant avec un Elémental, c’est-à-dire avec une des forces semi-intelligentes de ce règne.
Cette pensée survit comme intelligence, comme créature de l’esprit, pendant une période plus ou moins longue, proportionnelle à l’intensité originale de l’action cérébrale qui la généra.
Ainsi, une bonne pensée perdure comme un pouvoir actif et bénéfique, tandis qu’une pensée mauvaise devient un démon malin. Par conséquent l’homme est perpétuellement en train de peupler son courant dans l’espace avec les générations de ses fantaisies, de ses désirs, de ses impulsions et de ses passions ; un courant qui réagit sur chaque organe de sensation et sur chaque organisation nerveuse avec laquelle il est en contact, en proportion de son intensité dynamique… L’Adepte développe ces formes consciemment, tandis que d’autres hommes les stimulent inconsciemment ».


Passage extrait de Magic, White and Black (Magie Blanche et Noire) de Franz Hartmann




Les effets de la pensée positive



Définition de la pensée positive



Suite à tout ce que nous venons de développer, il devient alors aisé de comprendre en quoi consiste la « pensée positive » : elle consiste en l’émission de « formes-pensées » bénéfiques aussi bien pour nous-mêmes que pour les autres.

A partir de quel critère peut-on qualifier une pensée de « bénéfique » ?

La réponse à cette question est simple : il s’agit d’une pensée dont l’objet, lorsque nous nous trouvons en sa possession, nous procure un sentiment de bien-être (plus ou moins intense, selon la grandeur de l’objet en question).

Cet objet peut être soit « matériel » (comme une maison, par exemple), soit « immatériel » (amour, amitié, joie, bonheur, etc.).

En effet, une maison œuvre à notre bien, dans la mesure où elle nous protège du froid et des intempéries et où elle représente un lieu de sérénité et de paix, du moins lorsqu’elle est bien choisie et qu’elle est telle qu’elle devrait être, c’est-à-dire à notre image.

De la même manière, vivre entouré de personnes que l’on aime et qui nous aiment procure des sentiments de joie et de bonheur qui eux-mêmes sont source d’un grand bien-être pour ceux et celles qui les éprouvent.

Quant à l’état de bien-être, il ne peut se définir, mais seulement faire l’objet d’une expérience directe. L’effet bénéfique qu’il a sur nous est tellement grand qu’il n’est généralement pas difficile à reconnaître.

Enfin, ajoutons que cette fixation de la pensée sur ces objets peut se faire de deux manières : consciemment ou bien inconsciemment. Il est très important de savoir que les pensées qui ont la force d’attraction la plus grande (c’est-à-dire dont l’impact, à la fois sur nous-mêmes et sur notre vie, est le plus grand) sont les pensées inconscientes (représentées par toutes les images mentales que nous cachons au fond de notre psyché, elles-mêmes entretenues par nos émotions).

« Penser positivement » consiste donc à fixer son attention et son esprit sur des objets que l’on sait être source de bien lorsque l’on en vient à les posséder (dans le cas des objets matériels) ou à les éprouver (dans le cas des objets immatériels).

Mais voyons maintenant quels sont les effets de la pensée positive à la fois sur notre corps, sur le monde et sur notre vie.




Les effets de la pensée positive sur notre corps



Comme nous l’avons vu, une pensée tire son origine du corps mental de l’homme et donne naissance, au sein de ce même corps, à une « forme-pensée » (voir ci-dessus).

D’autre part, nous savons que les différents corps subtils de l’homme sont en liaison les uns avec les autres, dans la mesure où une altération (positive ou négative) dans l’un de ces corps aura une répercussion (elle aussi positive ou négative) sur l’état des autres corps subtils (pour plus d’informations et de compléments à ce sujet, nous renvoyons à lecture de notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras, ainsi qu’à celle des livres qui y sont conseillés).

Ainsi, en application de ces deux principes, une pensée positive donnera naissance dans le corps mental à une « forme-pensée » elle aussi positive qui aura à son tour des effets positifs et bénéfiques dans les autres corps de l’homme (notamment les corps causal, astral, éthérique et physique).

A l’inverse, une pensée dont l’objet est « négatif » (c’est-à-dire dont la manifestation procure douleur, souffrance ou sensation de malaise et de mal-être) aura un impact lui aussi « négatif » sur les autres corps subtils inférieurs.

Pour illustrer nos propos, prenons les cas concrets de deux types de personnes, cas sur lesquels nous conseillons au lecteur de porter son attention afin qu’il puisse évaluer par lui-même l’exactitude de nos dires : imaginons d’une part être en présence d’une personne positive et rayonnante, toujours souriante et de bonne humeur et ce, malgré les vicissitudes auxquelles la vie aura pu l’exposer, et, d’autre part, d’un individu sans cesse en train de se lamenter et de se plaindre, perpétuellement en proie aux tourments alimentés par ses idées noires et ses pensées négatives.

Eh bien, nous ne serons pas longs à constater que la première personne éprouvera majoritairement des émotions positives qui se transmettront à son entourage, en même temps qu’elle aura de grandes chances de jouir d’une parfaite santé, tandis que la seconde émettra, à travers ses émotions, des « ondes négatives » qui auront également des répercussions plus ou moins graves (à proportion de la négativité de ses pensées) sur son état de santé (contraction de maladies, douleurs dans diverses parties du corps, déformation de certaines zones du corps…).

Si maintenant nous voulons expliquer « rationnellement » ce phénomène, voici ce qui se produit :

- La personne dont les pensées (conscientes, mais aussi et surtout inconscientes, car ce sont elles qui, comme nous l’avons vu, ont le plus d’effet aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de nous-mêmes) sont fixées sur des objets positifs créent des « formes-pensées » porteuses d’une énergie elle aussi positive. Cette énergie produit tout d’abord une vibration au sein du corps mental, vibration qui finit par se communiquer aux autres corps.

Ainsi, l’énergie positive émise par la pensée donnera naissance à des émotions et des sentiments positifs qui, eux-mêmes vitaliseront les organes du corps de la personne, tout d’abord sur le plan éthérique (en agissant sur le corps éthérique) puis sur le plan physique (en agissant sur le corps physique).

C’est cette vitalisation des organes provenant de pensées et d’émotions « saines » qui sera cause de la bonne santé physique de la personne.

- En ce qui concerne la personne s’alimentant de pensées négatives, le processus est exactement le même, sauf qu’il altérera la santé psychique, émotionnelle et physique de la personne : l’énergie négative provenant de ses mauvaises pensées se répandra sur son corps causal (affectant par là-même le karma de ladite personne), sur son corps astral (ce qui fera naître en elle de mauvaises émotions, comme la peur, la haine, la colère, l’angoisse, etc.), sur son corps éthérique (ce qui affectera la vitalité de la personne envisagée, raison pour laquelle elle se sentira opprimée et dépressive) et enfin sur son corps physique (apparition de troubles, de dysfonctionnements, voire de maladies).

Généralement, nous oscillons, au gré des différentes étapes de notre vie, entre ces deux stéréotypes de personne. Les moments de bonheur et de prospérité favorisent l’émergence dans notre vie de pensées, d’émotions et de choses positives, tandis que les moments d’adversité auraient plutôt tendance à faire naître leur contraire.

Mais nous n’insisterons jamais assez sur le fait que c’est justement dans les moments d’adversité qu’il faut faire preuve d’assez de force spirituelle pour fixer notre esprit et nos pensées sur des objets positifs et beaux : car c’est ainsi que nous pourrons dépasser plus rapidement ces moments de « traversée du désert ».

A ceux qui seraient intéressés d’expérimenter les effets de la pensée sur le corps, nous conseillons l’exercice suivant (afin de ne leur en faire éprouver que l’impact positif) :

Mettez-vous dans une position confortable (assise ou couchée) et concentrez-vous sur une image mentale (qu’il s’agisse d’une représentation imaginaire ou d’un souvenir) à laquelle sont associée pour vous des impressions ou des sensations positives : si vous vous immergez profondément, par le biais de la relaxation et de la concentration, au sein de cette image « positive », vous ne tarderez pas à remarquer que votre corps deviendra plus léger et que toutes ses parties (membres et organes) seront revitalisées, ce qui se traduira par un sentiment de bien-être physique général.

Tout ce que nous venons d’exposer prouve que la pensée a le pouvoir d’influencer et de modeler, non seulement nos sentiments et nos émotions, mais aussi notre corps.

L’esprit est donc une force capable de modeler en particulier notre corps, et, plus généralement, tout notre être. C’est pourquoi il faut être vigilant à surveiller la teneur de nos pensées, conscients du fait qu’il ne faut pas sous-estimer leur puissance.

Aussi les sages de l’Inde enseignaient-ils à leurs disciples que « l’homme devient ce qu’il pense ».

* AUTO-HYPNOSE (EDITIONS L’ORIGINEL)




Les effets de la pensée positive sur le monde



Tout comme les actes physiques d’une personne produisent un effet sur le monde physique, les « formes-pensées » émises par le corps mental d’une personne produiront nécessairement un effet au sein du monde mental (voir supra et notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras).

En effet, même si, dans un premier temps, une « forme-pensée » reste liée à celui qui l’a émise (c’est pourquoi une pensée, positive ou négative, aura en premier lieu et dans l’immédiat des répercussions, positives ou négatives, selon le cas, sur la personne qui en est à l’origine), celle-ci finit alors par s’en détacher pour venir ensuite s’agglomérer aux formes-pensées de même nature vaguant dans le monde mental.

Ainsi une pensée de paix ou d’amour viendra s’adjoindre aux autres pensées de paix et d’amour émises par d’autres sujets, tandis qu’une pensée de guerre ou de haine viendra grossir le fleuve des pensées négatives et destructrices alimenté per les individus et les peuples dont l’esprit reste perpétuellement fixé sur ces objets.

Par conséquent, et même si l’extrême majorité des personnes n’en est absolument pas consciente, la pensée (des individus singuliers et des peuples) peut avoir un immense effet sur le destin du monde.

Dans le paragraphe précédent, nous avons vu en effet qu’une pensée aura tout d’abord des répercussions sur le corps mental de la personne (raison pour laquelle des idées positives appellent les pensées positives, tandis que les idées négatives nourrissent les pensées négatives), puis sur son corps causal, sur son corps astral, sur son corps éthérique et enfin sur son corps physique.

De la même manière, la « masse » des formes-pensées flottant au sein du monde mental aura peu à peu des effets sur le monde causal (c’est-à-dire sur le karma de l’humanité), puis sur le monde astral (émotions de l’humanité), sur le monde éthérique et enfin sur le monde physique.

C’est pourquoi un peuple produisant de « mauvaises » pensées verra très vite se manifester physiquement de « mauvaises » choses : celui qui vit dans l’attente ou la crainte (car, rappelons-le, c’est surtout le fait de penser inconsciemment à ce que l’on redoute qui finit par faire que ce que l’on redoute se produit) de la guerre verra bientôt la guerre éclater sur son territoire, un peuple vivant dans la crainte des maladies verra très tôt apparaître de grandes épidémies, etc.

Un peuple nourrissant de « bonnes » pensées, en revanche, appellera bien vite de bonnes choses à se manifester : richesse, santé, abondance, paix, amour,etc.

Il est donc de la plus haute importance de surveiller la teneur de nos pensées car, qu’on le veuille ou non, c’est-à-dire qu’on en soit conscient ou non, celles-ci peuvent fortement influencer le cours du destin du monde et de l’humanité.

Focaliser son esprit sur des pensées comme l’amour, le bonheur, la santé, la paix, c’est œuvrer, au niveau subtil, pour que ces « objets » se manifestent à plus ou moins long terme dans le monde physique.

La pratique de la pensée positive est donc d’une incroyable efficacité pour permettre au bonheur et à la paix de se manifester dans le monde.




Les effets de la pensée positive sur notre vie



Le dernier « domaine » sur lequel les effets extraordinairement bénéfiques de la pensée positive peuvent se faire sentir concerne notre vie.

C’est surtout sur la qualité de notre vie que l’exercice et la pratique de la pensée positive ont les conséquences à la fois les plus remarquables et les plus incroyables, pour ne pas aller jusqu’à dire les plus miraculeuses.

En effet, penser positivement permet d’influer favorablement sur le cours des événements que nous vivons, tandis qu’à l’inverse, penser négativement attirera à nous des situations et des événements désagréables.

C’est peut-être cette relation de cause à effet entre l’orientation de la pensée et la manifestation des événements que nous vivons qui est de coutume la plus difficile à admettre et à accepter pour l’immense majorité des personnes.

Pourtant, si nous y réfléchissons et si nous décidons d’accorder quelque crédit à l’affirmation selon laquelle « l’orientation de nos pensées a le pouvoir d’influer sur les événements que nous vivons », nous nous rendrons bien vite compte que cette assertion s’explique aisément à la lumière de ce que nous avons développé précédemment.

Nous avons vu que la pensée est dotée d’une puissance telle qu’elle est mesure d’exercer une action non seulement sur notre corps physique (voir Les effets de la pensée positive sur notre corps), mais aussi sur le monde dans lequel nous vivons (agissant tout d’abord sur le plan mental, puis, par « répercussion », sur le monde matériel - voir Les effets de la pensée positive sur le monde).

Ainsi, nous pourrions dire qu’une pensée est une vibration se manifestant sous l’aspect d’une « forme-pensée » dont les effets se répercutent aussi bien au-dedans qu’au-dehors de nous-mêmes.

Or, la vibration émise par la pensée joue en quelque sorte un rôle d’aimant qui attirera à lui des « objets » émettant une vibration de même nature : car, même si nous n’en sommes presque jamais conscients, l’une des lois perpétuellement à l’œuvre dans le cosmos est la « loi de l’harmonie universelle », résumée dans l’expression populaire affirmant que « le semblable attire le semblable ».

Pour faire une analogie avec le domaine musique, la beauté d’un morceau vient du fait que les différentes notes qui le composent forment une tonalité homogène (mineure ou majeure). Ainsi une mélodie harmonieuse naît lorsque des notes appartenant à l’une des deux gammes (majeure et mineure) s’unissent à d’autres notes appartenant à la même gamme.

En revanche, un morceau qui mêlerait indistinctement notes appartenant à la gamme mineure et notes appartenant à la gamme majeure serait cacophonique. Mais précisons que la cacophonie est inconnue de la « musique sacrée des sphères célestes ».

Autrement dit, la disharmonie n’existe pas dans le « royaume des cieux ». Et comme « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut » (comme le rappelle la Table d’émeraude d’Hermès Trismégiste), l’harmonie est le seul principe en vigueur dans l’univers.

Partant de ce principe, une pensée dont la vibration ou la « note » appartient à la tonalité « majeure » s’alliera à d’autres notes appartenant à la même tonalité pour ensuite former un morceau, puis éventuellement une symphonie de tonalité majeure.

A l’inverse, une pensée dont la vibration ou la « note » appartient à la tonalité « mineure » s’alliera à d’autres notes appartenant à la même tonalité pour ensuite former un morceau, puis éventuellement une symphonie de tonalité mineure.

Posons tout de suite qu’une pensée positive émettra une vibration donnant une impulsion de tonalité majeure au morceau qui se jouera par la suite, tandis qu’une pensée négative orientera ce même morceau vers une tonalité mineure.

Pour donner quelques exemples concrets, les pièces musicales dont la tonalité mineure est la tonalité dominante sont les requiems, les complaintes et tout autre morceau exprimant un sentiment douloureux (deuil, nostalgie, tristesse) afin de le communiquer et de le faire partager à celui qui l’écoute.

En revanche les morceaux de musique dont la tonalité majeure est la tonalité dominante sont ceux cherchant à évoquer ou à exprimer un événement ou un sentiment heureux (joie, gaieté, amour heureux, etc.).

Si maintenant nous nous posons la question de savoir quels états d’âmes éveillent en nous ces deux types de morceaux, nous nous apercevrons très probablement que ceux faisant appel à la tonalité mineure nous entrainent vers des sentiments de tristesse, de nostalgie, voire de déprime ou de dépression (à moins que ce soient nos états d’âmes négatifs qui nous conduisent à écouter de tels morceaux…), nous privant en quelque sorte de nos énergies pour agir, tandis que ceux recourant essentiellement à la tonalité majeure nous donneront un entrain et une énergie qui ne tarderont pas à nous faire éprouver des sentiments de bonheur, de bien-être et de joie.

Ajoutons que les grandes œuvres recourant à la tonalité mineure sont généralement d’une immense beauté, dans la mesure où l’harmonie règne en elles : cependant cette harmonie se réalise non pas au sein du « positif », mais au sein du « négatif ».

Ce qu’il est intéressant de remarquer, c’est que cette « positivité » et cette « négativité » émises par la vibration des notes de musique se répercutent sur notre état d’esprit : raison pour laquelle nous pouvons affirmer que la musique a un effet direct sur nous.

Pour en revenir à notre propos initial, c’est exactement le même type de phénomène qui se produit en ce qui concerne la relation entre la pensée et les événements que nous vivons : les pensées que nous émettons correspondent au morceau joué tandis que les événements qui se produisent dans nos vies correspondent à l’état d’âme qu’éveille le morceau dans l’esprit de l’auditeur.

Les pensées émettent une certaine vibration (« positive » ou « négative », selon leur teneur), qui se manifeste dans le monde mental. Puis cette vibration atteint progressivement et peu à peu le monde physique pour donner lieu à des événements ou des situations de même nature que les vibrations initialement émises par le sujet pensant.

C’est pourquoi un individu donnant à ses pensées une orientation positive influera positivement sur le cours des événements qu’il vivra, tandis que le contraire se produira pour une personne pensant négativement.

Aussi étrange que cela puisse nous paraître, les pensées jouent donc un rôle d’aimant attirant à elles les choses et les situations sur lesquelles elles se fixent (lire à ce propos The Secret de Rhonda Byrnes).

« A pensées positives, événements positifs, à pensées négatives, événements négatifs ». Cette vérité était enseignée « ésotériquement » (au sens étymologique, c’est-à-dire « de manière cachée ») par la tradition aux disciples initiés à travers les deux axiomes suivants :

« L’homme devient ce qu’il pense »

et

« L’énergie suit la pensée ».

Désormais conscients de cette vérité, il ne tient alors qu’à nous de la mettre en application pour donner une orientation positive à notre vie et faire en sorte qu’en elle règne l’amour, la beauté, la joie et l’harmonie : car ce travail nous ouvrira inéluctablement toutes grandes les portes du bonheur.

Mais comment donc mettre en pratique efficacement les principes de la pensée positive ?



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La pensée positive, 3/3
1.1 Comment rendre l’exercice de la pensée positive efficace ?
1.1.1 Pensée positive et travail sur soi
1.1.2 Les techniques utilisées dans la pratique de la pensée positive
1.1.2.1 La relaxation du corps
1.1.2.2 La respiration
1.1.2.3 L’auto-observation, la déconstruction des schémas négatifs et le lâcher prise
1.1.2.4 La visualisation créatrice
1.1.2.5 Le travail sur les sons ou la répétition d’un mantra
1.1.2.6 Le travail sur les sentiments et les émotions
1.1.2.7 L’autosuggestion
1.1.2.8 La concentration et la focalisation
1.1.2.9 La méditation



Comment rendre l’exercice de la pensée positive efficace ?



Pensée positive et travail sur soi


A la lumière de tout ce que nous venons d’exposer, il ne sera sans doute pas difficile de se rendre compte que la pratique de la pensée positive relève d’un style et d’une philosophie de vie et que, par conséquent, elle n’a rien de la superficialité qu’on lui attribue implicitement lorsqu’on ne fait que la ramener à une « mode ».

« Penser positivement », c’est jeter une nouvelle lumière sur le monde, c’est porter un nouveau regard sur la vie en décidant consciemment et volontairement de voir « la bouteille à moitié pleine, et non à moitié vide » (ce qui ne va pas sans un travail sur soi et une discipline physique, mentale et spirituelle).

Et le fait de se concentrer sur la partie pleine de la bouteille - et c’est là que les miracles et la magie de la pensée positive opèrent ! - fait que, petit à petit, cette même bouteille commence réellement (c’est là que se trouve la magie !) à se remplir toujours plus…

Il ne faut qu’en avoir fait l’expérience pour pouvoir s’en rendre compte…

Mais pour commencer à voir ces résultats « magiques » et « miraculeux » se produire, il faut auparavant entreprendre une profonde transformation de soi-même qui passe par une déconstruction des mécanismes mentaux négatifs et autodestructeurs auxquels doivent être substitués des processus psychiques (conscients, mais aussi et surtout inconscients et subconscients) positifs et constructeurs.

Car c’est en sachant profiter continuellement de chaque situation que la vie peut nous offrir, comme d’une occasion pour nous améliorer nous-mêmes et pour nous transformer dans les structures les plus profondes de notre être que nous nous mettrons dans les conditions de faire de très fructueux et très rapides progrès sur la voie du bonheur à laquelle conduit de la façon la plus directe la pratique sincère et assidue de la pensée positive.




Les techniques utilisées dans la pratique de la pensée positive



Nous voudrions présenter ici, brièvement et dans leurs grands principes, les techniques et les exercices pratiqués et enseignés (pour certains d’entre eux depuis la nuit des temps, pour les autres à partir d’une époque plus récente) par les maîtres, professeurs et instructeurs de la plupart des écoles mettant au cœur de leur enseignement la pratique de la pensée positive, et ce dans les disciplines les plus diverses et variées, qui vont du yoga jusqu’à la « Programmation Neuro-Linguistique » (PNL), en passant par la psychologie et la méditation (assise ou en mouvement, comme c’est le cas, quoique plus indirectement, dans des disciplines comme le Qi Gong, le Taï-Chi-Chuan, la méthode Feldenkreis ou encore la danse – du moins dans certaines traditions).

Nous présenterons ces techniques en commençant par celles qui impliquent le plus le physique, et par conséquent le corps, pour en arriver à celles qui agissent le plus directement sur l’esprit.

Enfin, précisons que la liste de ces techniques est loin d’être exhaustive : vous en trouverez de bien plus nombreuses, expliquées dans leur menu détail avec la description de leurs effets et de leurs résultats, dans les livres dont nous vous recommandons la lecture à la fin de ce chapitre de l’article.




La relaxation du corps



Apprendre à relaxer et détendre le corps est l’une des bases fondamentales sur lesquelles repose la pratique de la pensée positive.

En effet, qui ne parvient pas à dénouer les tensions physiques auxquelles il est sujet (et nous sommes naturellement tous la proie à ces tensions, surtout étant donné les conditions de vie que nous impose la société moderne), ne peut atteindre l’état de calme et de paix intérieurs indispensables à l’éclosion d’une attitude mentale positive.

C’est pourquoi le style de vie prôné par l’exercice la pensée positive recommande d’avoir une activité physique complète (c’est-à-dire qui fait travailler toutes les parties du corps) qui, tout en étant « douce » (nous entendons par là qu’elle ne doit pas violenter le corps par des exercices musculaires trop violents), pourra cependant être pratiquée avec intensité et engendrer une saine fatigue physique.


A titre d’exemple, et en fonction des centres d’intérêt de chacun, nous pourrions recommander la pratique des disciplines suivantes :

- « Gymnastiques méditatives » : Nous entendons derrière cette expression toutes les disciplines mettant au cœur-même de leur pratique l’assouplissement du corps afin de favoriser l’épanouissement émotionnel, mental et spirituel du pratiquant, notamment par le biais d’un travail de méditation.

a) Yoga : discipline intégrale indienne pour l’assouplissement du corps et de l’esprit du pratiquant par le biais d’un travail sur des postures – asanas -, sur la respiration – pranayama ou « science du souffle » – et sur l’esprit – méditation.

b) Qi Gong : discipline chinoise signifiant « L’art de Nourrir le Principe Vital » (ou « L’art de La Longevite »), dont la pratique consiste en un enchaînement de postures et de mouvements lents visant à faire circuler l’énergie vitale dans le corps vital de la personne et, par conséquent, à favoriser son équilibre émotionnel, mental et spirituel, du fait du lien qui existe entre les corps (pour plus d’explications à ce sujet voir notre dossier L’anatomie subtile de l’homme selon la Tradition spirituelle : auras, corps subtils et chakras, ainsi que la première partie de ce dossier, intitulée La conception énergétique de l’homme).

c) La méthode Feldenkrais : Méthode de prise de conscience de soi et de son corps par le mouvement, fondée par Moshé Feldenkrais (1904-1984). Cette méthode vise à acquérir contrôle de son corps, stabilité psychique et émotionnel : il s’agit donc, comme le Qi Gong d’une forme de méditation en mouvement.

- Arts martiaux internes : ce sont tous les arts martiaux qui recherchent l’efficacité à travers le développement de la force interne en accomplissant tout un travail sur la libre circulation de l’énergie – prana, chi ou ki –, acquise par la souplesse du corps et de l’esprit. On trouve parmi eux :

a) Le Taï-chi-Chuan : art martial chinois signifiant « Boxe du Faîte Suprême », en référence à l’état de réalisation intérieure que la pratique de cet art martial permet d’atteindre).

b) Le « Yi Quan » ou « Dacheng chuan » : art martial chinois signifiant « La voie de l'Harmonie du Corps et de l'Esprit »

c) L’Aïkido : Art martial japonais fondé par le grand maître Morihei Ueshiba et signifiant « Voie de l’harmonisation des énergies » (quelquefois aussi traduit par « Voie de l’harmonie avec soi-même et avec les lois de l’Univers »), caractérisé par le fait qu’il n’y a pas de compétition et que les techniques enseignées sont uniquement des techniques de défense et jamais d’attaque. La pratique se fait aussi bien à mains nues qu’avec des armes (sabre de bois – bokken, bâton – jo, couteau – tanto).

d) Le Kyudo : art martial japonais signifiant « Voie du Tir à l’Arc ».

e) Le Iaï-do : art martial japonais dont le nom est généralement traduit par « Voie de l’art de dégainer et de rengainer le sabre »


- Arts martiaux externes : ce sont tous les arts martiaux qui visent à ce que l’énergie du pratiquant se manifeste de manière extérieure à travers l’acquisition d’une grande efficacité externe (force de frappe et de projection notamment). Parmi ces arts, nous pouvons citer :

a) Le Kalarypayat : art martial indien antique (signifiant « le lieu des exercices », en référence à l’arêne où se déroulent les entraînements), considéré comme le père de tous les arts martiaux asiatiques, dans la mesure où il repose entièrement sur la connaissance de l’anatomie subtile de l’homme, connaissance sur laquelle se fonde également la médecine indienne (ou Ayurvéda).

b) Le Kung-Fu : c’est le terme sous lequel, en Occident, on a cherché à désigner l’ensemble des boxes chinoises (l’expression la plus adéquate, et utilisée en Chine, étant celle de « Wu Shu »). Parmi ces diciplines on trouve :

1) Le Shaolin Chuan : Cette expression signifie « la Voie de Shaolin » et désigne toutes les disciplines de combat que pratiquent les moines de Shaolin tout au long de leurs années de formation.

2) Le Shuai Jiao : il s’agit d’une lutte traditionnelle chinoise, se posant comme l’art de l’esquive et de l’utilisation de la force de l’autre.

3) Le Jeet Kune Do : Art martial chinois fondé par Bruce Lee et signifiant « La Voie Du Poing qui Intercepte »

4) Le Tae-Kwen-Do : art martial coréen signifiant « La voie du pied et du poing »

5) Le Judo : art martial japonais fondé par Jigoro Kano et signifiant « La Voie de la Souplesse ». Le judo fait appel à des techniques de projection canalisant la force de l’attaquant, afin de mettre fin un terme au combat.

6) Le Karaté Do : art martial japonais originaire de l’île d’Okinawa et fondé par Gichin Funakoshi. Karaté Do « La Voie de la Main Vide », en référence au fait que les combats à Okinawa se déroulaient à mains nues du fait de l’interdiction de porter les armes que les autorités gouvernementales ont un jour décrétée.

7) Le Kendo : art martial japonais signifiant « La Voie du Sabre (ou de l’Epée) ». Il s’agit du style d’escrime japonaise par excellence, dans la mesure où les techniques qui sont enseignées sont celles qui étaient pratiquées au sabre (ou katana) par les samouraïs.


Nous tenons à signaler au passage quelque chose de fondamental : un grand maître chinois de Taï-Chi-Chuan, style Wu, vivant à Paris, rappelait que ce qu’en français nous traduisons par « arts martiaux » (= arts de Mars, Mars étant le dieu de la guerre offensive chez les Romains – tandis que son équivalent dans le panthéon des dieux grecs est Arès) se dit en chinois « Wushu » : or si l’on cherche à traduire littéralement ces deux idéogrammes (« Wu et Shu »), « Wu Shu » signifie « L’Art d’Arrêter la Lance (ou les Armes) ».

De la même manière, ce que nous traduisons dans notre langue par « arts martiaux » se dit en japonais « Budo » : or, si nous voulions traduire littéralement les deux idéogrammes (ou kanji, en japonais) « Bu » et « Do », l’ensemble se traduirait par « L’Art de Gouverner et de Protéger le peuple » (ce qui, dans un pays perpétuellement en proie à la guerre civile, revenait à instaurer un régime de paix).

Autrement dit, le vrai sens de la pratique d’un « Wushu » ou d’un « Budo » est de maîtriser les armes dont fait usage la violence pour se répandre et se développer, afin de la dépasser et pouvoir enfin être en mesure de mettre à fin à la guerre.

Le sens réel de la pratique d’un « Wushu » ou d’un « Budo » se trouve donc à l’extrême opposé de ce que pourrait laisser entendre une expression aussi maladroite et malheureuse que celle d’ « arts martiaux », censée traduire les idéogrammes chinois et japonais « Wushu » et « Budo ».

Cela étant dit, il n’est dès lors pas difficile de comprendre en quoi la pratique des « arts martiaux », dans leur sens le plus noble, peut aisément se conjuguer à celle de la pensée positive, sans aucunement entrer en contradiction avec les principes qu’elle prône.

- Danse : Etant donné le nombre incalculable de styles de danses pouvant être pratiqués, aussi bien occidentaux (danse populaire, danse classique, danse de bal et de salon, danse latino-américaine – tango, salsa, rumba – danse moderne) qu’orientaux (danse arabe, danse indienne, danse chinoise, danse japonaise, étant bien entendu que ces catégorisations génériques regroupent un ensemble de styles et d’écoles qui ont la plupart du temps aussi peu de choses à voir entre eux que par exemple notre danse classique d’opéra et le jig irlandais) nous ne nous arrêterons pas sur chacun d’entre eux, car la liste serait bien trop longue et fastidieuse à lire.

Mentionnons simplement le fait que la danse est une excellente discipline pour faire travailler harmonieusement le corps et assurer la libre circulation de l’énergie physique, émotionnelle, mentale et spirituelle, du fait qu’elle permet à l’individu d’exprimer par le corps l’ensemble des émotions et des pensées que la plupart du temps il ne parvient pas à faire sortir de lui-même.

Ainsi l’enseignement contenu dans l’adage : « Un esprit sain dans un corps sain » est on ne peut plus d’actualité pour celles et ceux qui désirent s’adonner à la pratique de la pensée positive au quotidien.




La respiration



Le contrôle du souffle et de la respiration est une étape incontournable de la pratique de la pensée positive. La respiration permet en effet, lorsqu’elle bien maîtrisée, de calmer le corps et l’esprit et de vitaliser les corps subtils de l’individu.

Cette revitalisation des corps subtils de la personne aura pour effet de lui redonner de l’énergie sur tous les plans (physique, vital, émotionnel, sentimental, mental et spirituel) et, par conséquent, de lui procurer une sensation générale de profond bien-être.

Comme le rappelait le grand maître de Zen japonais, Taisen Deshimaru, l’apprentissage de techniques de respiration nous met devant un paradoxe : en effet, quoique respirer soit l’activité à la fois la plus naturelle et la plus fondamentale, dans la mesure où elle est au fondement de la vie (car qui ne respire pas ne peut vivre), la majeure partie des individus ne sait pas bien respirer.

Une bonne respiration est une respiration abdominale qui porte l’air et l’énergie dont celui-ci est porteur vers le bas du ventre, à l’endroit où se situe le deuxième chakra (correspondant au point d’acupuncture appelé Dang Tiang en chinois, tandis que les japonais parlent de Seika Tanden) : en effet, ce dernier point se trouve être le foyer d’énergie vitale du corps humain.

Pour parvenir à respirer avec l’abdomen, il faut avant tout apprendre à baisser le diaphragme et à décontracter la cage thoracique. Pour parvenir à ce résultat il existe de très nombreuses techniques élaborées par diverses écoles, aussi bien orientales qu’occidentales.

Enfin, une respiration correcte permet d’atteindre une plus grande lucidité mentale et un plus grand détachement par rapport aux événements (et donc un plus grand contrôle sur eux).

Le travail sur la respiration est donc un moyen direct et très efficace nous permettant d’atteindre la liberté intérieure indispensable à l’éclosion d’un état mental positif.

Pour vous aider à prendre conscience des effets incroyablement bénéfiques que le fait de savoir bien respirer peut avoir sur votre vie et pour apprendre les techniques qui vous permettront d’arriver à ce résultat, nous vous conseillons la lecture des ouvrages suivants :

- 20 techniques de respiration pour évacuer stress, fatigue et anxiété de Stella Weller

- Respirez pour mieux vivre : Des exercices simples pour gérer toutes les situations quotidiennes de Olivier et Sandra Stettler

- Pranayama yoga, l'art de respirer de Dominique Lonchant

- La Respiration essentielle de Thich Nhat Hanh

- Zen et vie quotidienne / La pratique du Zen / Zen et arts martiaux de Taïsen Deshimaru

Dans ces trois livres (qui ne traitent pas exclusivement de la respiration), l’auteur parle à de nombreuse reprise de l’importance de la respiration pour conserver un état de « vacuité mentale ».

Cet état de conscience est source de paix et de sérénité intérieure, il est le « but » que recherchent ceux qui pratiquent le zazen (ou méditation assise) et constitue la porte d’entrée vers un royaume intérieur dont la découverte sera en mesure de changer radicalement la qualité de notre vie.




L’auto-observation, la déconstruction des schémas négatifs et le lâcher prise



L’auto-observation est un processus psychologique qui permet de prendre conscience des mécanismes psychiques inconscients qui, la plupart du temps, contribuent à nous rendre malheureux et à nous enfermer dans la négativité à cause du fort impact qu’ils ont sur nous.

L’ensemble de ces mécanismes psychologiques et psychiques forment ce que l’on pourrait appeler « le faux moi ». La force de ce dernier vient du fait que nous nous sommes identifiés à lui.

Apprendre à « penser positif », c’est apprendre à se départir de ce faux moi, tout d’abord en apprenant à le reconnaître (grâce à l’auto-observation) puis en lâchant prise, c’est-à-dire en le laissant partir par le biais d’un travail sur soi.

Pour parvenir à effectuer avec justesse ce travail d’auto-observation en même temps que de détachement intérieur à l’égard de tous vos mécanismes de pensées négatifs et auto-destructeurs, nous vous recommandons la lecture de :

- Tous les livres de Guy Finley et particulièrement :

a) Lâcher prise : Dans ce livre l’auteur nous apprend à reconnaître ce qu’il appelle notre « faux moi » pour ensuite être en mesure de nous en libérer

b) Pensées pour le lâcher prise : ce livre est en quelque sorte le « complément » du précédent

c) Vaincre l'ennemi en soi

d) Prier pour lâcher prise : Dans ce très beau livre, Guy Finley entend la prière, non pas comme une requête consistant à demander à quelqu’un à l’extérieur de nous-mêmes de nous apporter ce dont nous manquons, mais comme le fait de demander que s’effondre le voile intérieur dans lequel nous vivons et qui nous empêche de voir que nous avons déjà tout ce dont nous avons besoin.

- Le Pouvoir du moment présent : Guide d'éveil spirituel de Eckhart Tolle

- Accepter ce qui est / Lâcher prise de Rosette Poletti et Barbara Dobbs

- Pratique de la voie toltèque : Les méthodes pratiques pour maîtriser le rêve de votre vie, de Miguel Ruiz et Janet Mill




La visualisation créatrice



La visualisation est le procédé par lequel l’esprit se concentre et fixe son attention sur une image mentale afin d’en imprégner jusqu’à ses structures les plus profondes (c’est-à-dire non seulement le conscient, mais aussi l’inconscient et le subconscient).

Il faut pour cela apprendre à développer sa force de concentration et, par le biais de techniques bien précises, faire descendre ces images visualisées jusque dans les structures les plus profondes de notre être.

Cette forte impression de l’image visualisée produira un effet sur le monde mental qui, à son tour, influera sur le monde physique.

Comme cette visualisation intérieure produit un effet réel sur le monde matériel, c’est la raison pour laquelle le procédé par lequel l’on produit de telles images a pris le nom de « visualisation créatrice ».

Voici comment Shakti Gawain la défnit : « La visualisation créatrice consciente est le processus par lequel nous remplaçons nos images mentales négatives et nos pensées étriquées, littéralement « maladives », par d’autres de nature positive ».

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la visualisation créatrice et surtout savoir à partir de quelle méthode et de quels exercices celle-ci se pratique, nous vous recommandons vivement la lecture des ouvrages suivants :

- Le Secret (The Secret) de Rhonda Byrne

- Techniques de visualisation créatrice de Shakti Gawain

- L'Expérience de la dixième prophétie : Le Pouvoir de la foi et de la visualisation de James Redfield

- Visualisation créatrice : Méthodes et exercices de Anne-Béatrice Leygues et Anne-Claire Mery

- Les pouvoirs de la visualisation de Rachel Charle




Le travail sur les sons ou la répétition d’un mantra



Un mantra est suite de phonèmes produisant certains sons qui, eux-mêmes, provoquent des vibrations au sein du corps physique, puis des corps subtils de l’homme.

Cette vibration, partant du corps physique, se propagera au sein des corps subtils de la personne qui récite le mantra (corps éthérique, corps astral, corps causal, corps mental et éventuellement corps de vitalité divine et corps d’esprit divin).

Les mantras des grandes traditions spirituelles ont pour but, par l’intermédiaire d’un travail et d’une pratique par le son, de faire éclore des émotions, des sentiments et des pensées positives chez la personne, ce qui, du fait du lien existant entre les différents corps de l’homme, aura pour effet de renforcer sa santé, aussi bien psychique que physique.

Le travail sur les mantras peut donc être d’une grande efficacité pour rejoindre une attitude et un état d’esprit positifs.

A ceux qui souhaiteraient en savoir plus sur l’essence et la pratique des mantras, nous conseillons :

- Approches de l'univers sonore : Mantras, sons et phonèmes de Hélène Foglio

- Mantras : Langage des dieux de Christine Stecher

- Les Mantras, paroles de pouvoir de Shivananda Radha




Le travail sur les sentiments et les émotions



Un travail sincère sur les sentiments et les émotions que nous éprouvons à la fois envers les autres et à l’égard des événements et des situations que nous pouvons vivre influera, du fait de la relation existant entre les corps subtils, sur la nature de nos pensées.

Ainsi, apprendre à ressentir des sentiments d’amour, de reconnaissance et de gratitude, ainsi que des émotions de joie et de gaieté dissipera bien vite toutes les idées noires qui peuvent s’accumuler dans notre esprit lorsque nous ne prenons pas garde d’en « surveiller la porte d’entrée ».

Il n’est toutefois pas suffisant d’être doté de bonnes intentions pour atteindre ce résultat ; encore faut-il bien savoir s’y prendre et accomplir le juste travail sur soi permettant d’atteindre l’état de réalisation propre à ceux qui sont parvenus à appliquer dans leur vie les principes enseignés par la pensée positive.

Pour vous guider dans cette démarche, nous vous recommandons la lecture des ouvrages suivants :

- Le Secret (The Secret) de Rhonda Byrne

- Eloge de la pensée positive de Pâvana




L’autosuggestion



L’auto-suggestion est une technique visant, grâce à la répétition fréquente d’une affirmation, à faire naître en soi l’état de conscience évoqué par cette affirmation, ce qui, la plupart du temps, nous donne l’énergie nécessaire pour atteindre un objectif ou bien un résultat visé.

L’auto-suggestion, lorsqu’elle est bien pratiquée (et elle doit pour cela suivre des règles bien précises) a de formidables effets (positifs !) sur notre santé globale (physique et psychique), mais aussi, par répercussion, sur celle de notre entourage et de nos proches, ainsi que sur les événements arrivant dans notre vie.

C’est de cette technique que s’est inspiré le célèbre médecin français, Emile Coué, pour élaborer sa propre méthode, la méthode Coué. Cet homme de génie a en effet été témoin de nombres de cas de guérison provenant de la certitude qu’avait le patient d’être déjà guéri.

Pour savoir comment bien pratiquer l’auto-suggestion, développer les formidables pouvoirs de votre esprit (pour les mettre au service d’une vie pleine et heureuse) et découvrir les incroyables richesses qu’il recèle, nous vous recommandons la lecture de :

- Eloge de la pensée positive de Pâvana

- Techniques de visualisation créatrice de Shakti Gawain

- Autohypnose de Kevin Finel

- La méthode Coué d’Emile Coué

- Affirmer et vous obtiendrez : Comment le verbe crée de Georges Barbarin




La concentration et la focalisation



La concentration et la focalisation permettent de donner une consistance à nos « formes-pensées » (voir supra La pensée positive et les « formes-pensées »), en augmentant la force du corps mental.

Cet accroissement de la puissance du corps mental permettra aux pensées et aux idées émises par celui-ci de marquer d’une forte empreinte le monde au sein duquel elles se manifestent, c’est-à-dire le monde mental (ou monde des idées).

Et comme le plan mental est en relation (par l’intermédiaire des autres plans subtils de la réalité) avec le monde physique, une pensée puissante, émise par un mental fort, agira plus rapidement et avec plus d’impact sur le monde physique.

Ainsi, puisque la force de la pensée provient de l’intensité avec laquelle elle est émise, la capacité de concentration et de focalisation sur une idée ou une image mentale, permettra à cette idée ou à cette image mentale de se manifester plus rapidement dans la réalité, du fait de la « communication entre les mondes ».

Apprendre à se concentrer et à se focaliser sur quelque chose est donc une aptitude nous permettant de nous acheminer plus rapidement vers la réussite et le succès, sur tous les plans (économique, professionnel, relationnel, sentimental, émotionnel, mental, spirituel…).

Il est donc indispensable d’acquérir ces deux qualités pour attirer les « positif » dans notre vie.

Il existe nombre de méthodes pour apprendre à se concentrer et à se focaliser.

Pour découvrir celles qui ont le plus fait leurs preuves, du fait de l’immense succès qu’ont remporté (à la fois en eux et dans le monde) ceux qui les ont mises en pratique, nous vous conseillons la lecture des ouvrages suivants :

a) Dans une perspective spirituelle :

- L'Art de la concentration de Pierre Feuga

b) Dans la perspective d’obtenir le succès matériel

- La force du focus : Comment atteindre vos objectifs personnels avec une absolue certitude de Jack Canfield, Mark-Victor Hansen, Les Hewitt

- La science de l'enrichissement, de Wallace-D Wattles

- Les clés spirituelles de la richesse : Vos premiers pas vers la fortune du Docteur Deepak Chopra

c) Dans la perspective de combler notre vie sur tous les plans (matériel et spirituel) :

- Les Sept lois spirituelles du succès de Deepak Chopra

- La Clé de la Maîtrise de Charles Haanel

- Comment utiliser les pouvoirs du subconscient de Joseph Murphy

- Comment passer commande auprès de l'Univers : Une méthode pratique pour réaliser vos souhaits de Bärbel Mohr




La méditation



La méditation est peut-être la pratique la plus directement liée à l’exercice de la pensée positive.

Quoiqu’il soit extrêmement difficile de définir la méditation, dans la mesure où, pour reprendre les paroles du maître Zen Taïsen Deshimaru, « la méditation ne s’explique pas, mais s’expérimente », cette dernière pourrait être présentée comme l’activité où l’esprit apprend à se connaître et à se maîtriser lui-même.

La médiation nous met en contact avec les structures profondes de notre être et nous permet de découvrir les richesses intérieures que nous cachons.

Lorsqu’elle est bien pratiquée, elle procure des plaisirs spirituels immenses et devient source d’un bien-être et d’une santé physique et mentale allant bien au-delà de ce que pourrait soupçonner quelqu’un qui n’aurait jamais eu l’occasion de s’adonner à sa pratique.

La méditation, en effet, et même s’il en existe un nombre incalculable de formes, permet de rééquilibrer les énergies dans l’ensemble des corps et de permettre à notre véritable nature, à notre nature divine (dont les attributs essentiels sont le bonheur, la paix et la félicité absolus et inconditionnés) d’éclore.

La méditation est donc, à condition d’être équilibrée, c’est-à-dire complétée par l’exercice de notre faculté d’action, la voie à la fois la plus directe et la plus naturelle conduisant à la réalisation d’un état de pensée positive.

Car c’est par elle que la « lumière » (et toutes les choses qu’elle apporte avec elle, le bonheur, l’amour, la paix, la joie…) que trop souvent nous allons chercher au-dehors de nous finit par s’allumer à l’intérieur de nous-mêmes pour ensuite s’irradier autour de nous.

Pour ceux qui souhaiteraient s’initier à la méditation, nous conseillons ces ouvrages généraux :

- Qu'est-ce que la méditation ? de Osho

- Zen ! : La méditation pour les nuls de Adam Cash

- La méditation : De la théorie à la pratique de Jayanti Bhen

En ce qui concerne ceux qui ont déjà des connaissances et une expérience dans cette pratique, nous recommandons différents livres :

a) Livres traitant de la méditation au sein d’une tradition bien définie :

- La Méditation bouddhique tibétaine : Pratique du calme mental et de la vision pénétrante de Khènchèn Thrangou

- La pratique du Zen / Questions à un Maître Zen de Taïsen Deshimaru

- Le Miracle de la pleine conscience : Manuel pratique de méditation de Thich Nhat Hanh

b) Dans une perspective de comparaison entre deux ou plusieurs traditions :

- Au coeur de l'être : s'ouvrir à l'amour - Méditation pratique d'Orient et d'Occident de Marie-France Garaude-Pasty

- Méditation zen et prière chrétienne de Hugo Makibi Enomiya Lassalle

- Le Zen et la Bible de J.K. Kadowaki

Ce dossier aura permis, du moins nous l’espérons, de donner un aperçu de la profondeur et de la richesse de la philosophie et de la spiritualité qui se trouve être au fondement de la pratique de la pensée positive.

« Penser positivement » n’est pas quelque chose que l’on entreprend comme cela, en passant, mais demande un engagement personnel réel et sincère dont la récompense réside dans les fruits et les bienfaits (à la fois matériels et immatériels, sur nous-mêmes, sur le monde et sur notre vie) que ne tardera pas à nous procurer l’exercice de cette attitude positive face aux événements et aux situations de la vie.

La pensée positive est donc l’une des plus grandes voies qui nous permettra d’accéder au Royaume du Bonheur.

Et pour accéder à ce Royaume, nous n’avons rien d’autre à entreprendre que de nous apprêter à y entrer.

Nous terminerons sur les mots de Shakti Gawain qui, dans son livre, Techniques de visualisation créatrice, écrit (ses propos pourraient se rapporter tout aussi bien à la pensée positive en général) :

« Si vous voulez pratiquer la visualisation créatrice avec succès, il vous faut être prêt à accepter ce que la vie a de mieux à vous offrir : le « bien » qui est en vous. »





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